Sur pilotis à Saigon Bay, notre maison vous accueille face à la mer,
dans une ambiance simple et chaleureuse.
Petit-déjeuner savoureux, équipe attentionnée,
ambiance amicale et décontractée…
et notre légendaire bonne humeur contagieuse.
Ici, tout est pensé pour que vous vous sentiez bien, dès l’arrivée.
Trois terrasses, trois ambiances : un hamac au soleil, un coin lecture,
ou un fauteuil pour admirer l’horizon.
Depuis plus de 10 ans, BarrBra est un lieu vivant –
un petit refuge au bout du monde.
Pour rejoindre BarrBra, il faut traverser un petit pont.
Rien de spectaculaire… et pourtant.
D’un coup, le bruit disparaît. L’air se calme. Le temps ralentit.
Devant vous, un lounge face à la mer, bordé de plantes tropicales.
Les valises s’allègent, les épaules aussi.
Vous êtes ailleurs. Et nous sommes là, prêts à vous accueillir.
C’est ici que tout se passe.
Une grande terrasse couverte, sur pilotis, avec vue sur la baie, hamacs, fauteuils, balançoires…
Le lieu parfait pour lire, discuter, rêver ou simplement ne rien faire.
Chaque matin : petit-déjeuner servi à table, ambiance conviviale, café à volonté.
Et toute la journée : un bar en libre-service, basé sur la confiance.
Juste à côté : la cuisine des invités, pratique et agréable – toujours avec la mer en toile de fond.
Commencez la journée du bon pied avec nos délicieux petits déjeuners
Au menu : omelettes, œufs brouillés, pancakes, pain perdu au fruit de la passion…
Il y en a pour tous les goûts.
Chaque assiette est accompagnée de fruits locaux fraîchement coupés.
Servi tous les jours de 8 h à 9 h 30
Pendant ce moment, BarrBra BnB se transforme en un petit restaurant chaleureux —
avec service à table et café à volonté pour bien démarrer la journée.
Merci de nous informer en cas d’allergie ou de restriction alimentaire —
nous adapterons votre assiette avec plaisir.
Ici, Loulou avec sa meilleure amie Marjorie.
Luiza — ou Loulou, pour les intimes — est née au Costa Rica en 2019.
Je suis allé la chercher à la frontière.
Elle n’avait que deux mois…
Je vous laisse imaginer à quel point elle était magnifique.
Au premier abord, elle peut paraître un peu distante.
Il faut dire qu’elle a croisé des milliers de voyageurs dans sa vie.
Mais donnez-lui un peu de temps…
Après quelques jours,
vous serez surpris de la voir vous reconnaître,
venir vers vous et vous accueillir avec une chaleur insoupçonnée.
Derrière sa timidité se cache une nature joueuse, expressive,
et une douceur qui ne laisse personne indifférent.
En 2020, la technicienne du vétérinaire de Bocas m’appelle : une portée de chatons orphelins vient d’être trouvée.
Je suis allergique aux chats, mais elle insiste :
« Celle-là est pour toi. Toute petite, douce, calme… »
Quelques heures plus tard, Jaja arrive, minuscule, blottie dans la paume d’une main.
Elle grandit ici aux côtés de Loulou et BarrBra — ils deviennent vite inséparables.
Jaja est une boule d’amour. Si elle vous choisit, elle s’installera sur vos épaules, s’endormira contre vous, et vous suivra partout.
Et si votre porte est entrouverte… ne soyez pas surpris de la retrouver dans votre lit au petit matin.
(Officiellement, c’est interdit !)
Un après-midi à Pipa Beach, avec une collègue, notre regard croise celui d’une chienne errante : oreille cassée, yeux bordés de noir, une douceur désarmante.
Quelques jours plus tard, nous apprenons qu’elle a été percutée par une voiture.
Elle lutte pour survivre. Nous courons à son secours.
Trois mois de soins, de patience et de courage…
Et un jour, la lumière revient dans ses yeux.
Aujourd’hui, elle marche fièrement sur ses quatre pattes.
Elle fait partie de notre famille.
Et si vous croisez son regard, vous comprendrez pourquoi nous l’aimons tant.
Un matin, près du barbecue, avec une collègue,
on aperçoit un petit chaton noir et blanc qui sort timidement de sa cachette et nous regarde en miaulant.
Il est en piteux état : gale, blessures, presque plus de poils…
Il fait vraiment peine à voir.
On commence à le nourrir, un peu à la fois.
Et chaque jour, il revient.
Au bout de quelques jours, on se regarde et on se dit :
« Si on ne fait rien, un matin… il ne reviendra plus. »
On contacte alors Papagato, un organisme local de protection animale.
On leur explique qu’on peut s’en occuper, le nourrir, lui offrir un abri…
mais qu’on ne peut pas financer les soins.
Ils acceptent de l’aider. Soins, stérilisation... merci à eux.
Il reste caché dans la bodega pendant plusieurs semaines.
On lui laisse le temps.
Aujourd’hui, il vit comme un petit pacha,
s’installant un peu partout pour enfin profiter de la vie.
Vous le verrez souvent endormi aux quatre coins de la maison.
Et oui… il adore qu’on lui gratouille le ventre.